Communiqué de presse - 10 septembre

Le "conte" est bon !
En  2016, la filière des jeux et jouets découvrait la jeune société Lunii  et sa Fabrique à histoires, pionnière et longtemps seule actrice de la nouvelle catégorie des conteuses audio.

Aujourd’hui,  une grosse dizaine d’intervenants se partagent ce qui était au départ un segment de niche, et qui est désormais devenu l’une des catégories les plus importantes et les plus performantes de la filière des jouets et jeux. Certains spécialisés dans la conteuse audio misant essentiellement sur une stratégie de contenus, avec ou sans licence ; d’autres déjà présents dans l’univers du jouet et plus particulièrement du premier âge, se positionnant plutôt sur des formats ludiques et sur des prix attractifs plus en rapport avec les tarifs habituellement pratiqués sur le marché.
Difficile de connaître le taux d’équipement exact des foyers en conteuses audio (12 % selon certaines études, ce qui paraît sous-estimé, et jusqu’à un foyer sur deux selon d’autres sources issues de la profession), sachant que le leader équipe à peu près à lui seul la moitié d’une classe d’âge chaque année. « Si le concept de la narration d’histoires a toujours  existé dans l’univers du jouet, les conteuses audio l’ont néanmoins fait évoluer sous un format différent que les consommateurs ont très bien et très vite accueilli », remarque Vincent Legoupil, directeur du marketing de Vtech qui propose pas moins de quatre concepts  différents de conteuses audio.

De l’audio à la vidéo.

"Ce marché a poussé très vite et très bien, confirme Valérie Prot, directrice des achats de Jouets Sajou. Un vrai cas d’école d’une bonne idée qui correspond parfaitement à une attente des consommateurs, d’une offre innovante qui crée tout de suite la demande. Du fait des possibilités constantes de téléchargement de  nouvelles histoires à partir de catalogues très riches et variés, la  conteuse est un produit « vivant », évolutif et adaptable selon les goûts et les tranches d’âges pour accompagner l’enfant durant plusieurs année."
L’apparition des écrans pourrait-elle apporter une nouvelle dynamique au marché ? Tout est question d’adaptation à la tranche d’âge : au-delà de 7 ans,  l’apport de l’écran ne nuirait pas à la vocation des produits, à savoir développer l’imaginaire des enfants du préscolaire à l’adolescence. Aujourd’hui, le leitmotiv des marques, c’est de dire que la conteuse est une alternative aux écrans. Mais demain... Les cycles évoluent, les mentalités aussi, et l’ajout d’un écran sur une conteuse trouverait certainement son public. Plus que l’absence d’écran, les parents sont  séduits par le fait que l’histoire capte l’attention des enfants durant un temps relativement long, ce qui leur offre l’occasion de souffler. Donc, que cette captation soit uniquement audio ou passe par l’apport de la vidéo n’aurait probablement pas beaucoup d’importance aux yeux d’une  partie d’entre eux. D’autant que bon nombre d’enfants qui écoutent une conteuse audio disposent également du smartphone ou de la tablette de leurs parents !

Storikid Max (en bois)

VTech

Siméon Mon conteur d'émotions

Gipsy Toys

Toniebox

Tonies

Projecteur et Conteur d'histoires Disney Baby

Clementoni

Raconte moi une histoire T'choupi

Nathan

Max la conteuse d'histoire

L'école des Loisirs