Communiqué de presse 10

Avec Furby (Hasbro), Bitzee (Spin Master), DOG-E (Lansay) et Tamagotchi Uni (Bandai), 2023 sera incontestablement l’année des compagnons interactifs ! Un segment qui a le vent en poupe avec une croissance de 8 % en valeur en 2022 et de 24 % à fin mars 2023, et qui séduit toujours autant les enfants.

« Furby est décliné en deux coloris, violet et corail, indique Karine Martinez, Brand Manager chez Hasbro. C’est le sixième du nom au niveau international (le premier était sorti en 1998), et le cinquième en France (2013). Par conséquent, il s’est écoulé une décennie durant laquelle ses principales caractéristiques et fonctions ont sensiblement évolué. » Il réagit notamment à la voix via cinq mots-clés : « Danse », pour déclencher le chant et la danse ; « Lumières », pour voir s’éclairer ses oreilles de différentes couleurs ; « Avenir », pour écouter ses petites prédictions amusantes ; « Imitation », pour l’entendre répéter ce qu’on lui dit en déformant la voix ; et « Relax », pour lui faire entamer une séance de relaxation et de méditation au rythme de musiques douces, en invitant l’enfant à en faire autant. D’un format identique à ses prédécesseurs, il réagit également au toucher et conserve son côté aléatoire puisqu’il n’obéit pas toujours à la demande...

Au total, Furby dispose de plus de 600 réactions sonores et lumineuses, mais, à la différence de son prédécesseur, il ne possède pas d’écran à la place des yeux. Autre atout de taille : on peut l’éteindre ! Bref, il a tout pour plaire aux enfants, mais aussi aux parents, adultes et collectionneurs nostalgiques et adeptes de produits vintage bien ancrés dans l’univers de la pop culture. « Bitzee est un produit très innovant qui s’inscrit dans l’ADN et le savoir-faire technologique de Spin Master, annonce Elodie Sebire, directrice du marketing de l’entreprise. Il s’agit d’un tout nouveau concept de compagnon interactif doté de nombreuses caractéristiques éprouvées, auxquelles s’ajoute l’effet de collection puisque les enfants pourront disposer de plusieurs personnages au sein d’un même jeu, avec un système de rareté. »

En effet, au fur et à mesure de l’avancée dans son jeu, l’enfant va pouvoir débloquer et découvrir jusqu’à 15 personnages différents avec lesquels il pourra jouer. Ce jeu associe donc de nombreux éléments de valeur, en plus d’une interaction physique originale et inédite qui renforce l’expérience de jeu puisqu’on peut « toucher pour de vrai » son compagnon pour le faire réagir. Ainsi, en ouvrant son boîtier, l’enfant découvre un personnage aléatoire parmi les 15 proposés. Celui-ci apparaît non pas sur écran, mais sous forme d’hologramme que l’on peut toucher. Après l’avoir fait évoluer du stade de bébé à celui d’adulte, puis de Super Bitzee, l’enfant va alors pouvoir débloquer, via le même processus, un nouveau personnage, et ainsi de suite jusqu’au quinzième. Une fois tous débloqués, il pourra sélectionner celui avec lequel il veut jouer et passer de l’un à l’autre selon ses envies, chaque personnage proposant un jeu différent.

Plus vrais que nature !

« Le Tamagotchi UNI est UNIversel et UNIque en son genre, explique Barbara Rouyaux, directrice des ventes et du marketing de Bandai. Le côté universel, d’abord, avec la date de l’annonce de son lancement qui, pour la première fois, était la même partout dans le monde, y compris au Japon ; mais aussi sa connexion Wi-Fi qui permet à tous ses détenteurs d’avoir accès au même contenu en même temps. De plus, chacun pourra rentrer dans un « Tamaverse », un monde virtuel qui propose un petit Tamagotchi à customiser pour le rendre unique au niveau du son de sa voix, de ses goûts, de la décoration de son habitat, de ses habitudes alimentaires, etc. » Sans oublier tout ce qui fait la saveur de l’expérience de jeu du Tamagotchi originel : un œuf qui éclot pour donner naissance à un petit animal dont il faut s’occuper toute sa vie, en le rechargeant sur secteur.

Bref, les mêmes clés du succès auxquelles s’ajoute une technologie beaucoup plus élaborée et ancrée dans l’ère moderne ; ainsi que le format du bracelet-montre originel tel que l’avaient souhaité ses créateurs. Un look de montre connectée bien dans l’air du temps avec le même type d’interactions : si on marche, le Tamagotchi marche, si on danse, le Tamagotchi danse... L’animal vit donc au rythme de nos propres activités, ce qui est totalement nouveau. « La technologie de DOG-E lui permet de se comporter comme un vrai chien en termes de mouvements, de réactions et d’attitudes, en fonction de l’attention et des soins qu’on lui prodigue : toilette, câlins, jeux, nourriture, promenade en laisse..., explique Philippe Bernard, directeur des opérations de Lansay. L’enfant se sent donc responsable de son compagnon interactif comme il le serait d’un vrai animal, à la grande différence près qu’il peut le customiser à l’infini avec plus d’un million de combinaisons possibles, de manière aléatoire ou via une application sur smartphone qui offre la possibilité de le personnaliser selon ses envies et de sauvegarder ses choix : couleur des yeux, des pattes, de la queue et du cœur, types d’aboiement, nom, caractère, etc. Autre particularité majeure, l’enfant peut envoyer des messages via les LED situées dans la queue de DOG-E, pour faire passer toutes sortes d’information au sein de la famille.

Au final, c’est un produit extrêmement abouti et complet, très sophistiqué en termes technologiques tout en restant simple d’utilisation. « C’est à ce type de produits que l’on constate que la crise sanitaire est désormais derrière nous, se réjouit Olivier Donval, directeur des collections de JouéClub. Car nous n’avions pas bénéficié de produits aussi innovants et attractifs ces dernières années, lorsque tous les fournisseurs limitaient les prises de risques. Cette offre va donc faire beaucoup de bien au marché, en termes de buzz comme de ventes. »

(*) Sources : La Revue du Jouet – Fabricants – Distributeurs – Circana